Fiche d'identité.
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Prénom : Temps Anciens > Murmure des Temps Anciens Lune : 62 Sexe : Mâle Rang : Fou de service Clan : Solo But dans la vie de votre chat : Tu ne veux rien de plus dans ta vie que détruire tout ce qui pourra être détruit et qui se présentera à toi. Des vies. Un chemin. Des proies. Mais ton but ultime, car tu n'en as qu'un, est beaucoup plus complexe. Tu souhaites détruire quelque chose en particulier. Quelque chose que tu connais mieux que personne, quelque chose dont tu connais les forces et les faiblesses. Tu souhaites te détruire toi.
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Tu n'as rien à raconter. Tu n'es pas normal. Tu ne te souviens même plus de ce à quoi tu ressemblais avant. Si. Tu étais grand. Imposant même. Et large d'épaule. Tu l'es toujours d'ailleurs. Et ton pelage ? Comment était-il avant l'enfermement ? Tu ne sais plus. Tu as oublié. Tu crois que tu étais blanc. Ou noir. Non. Tu n'en as plus aucune idée. À présent tu es gris. Un joli gris d'acier colore tes poils. C'est couleur est jolie, certes, mais ton pelage est négligé. Tu ne t'en occupes plus ou très peu. Tu estimes n'en avoir plus rien à faire. Tu as donc l'air plus décharné que jamais, rien qu'à te voir l'on peut prendre peur et tu ne sens pas vraiment très bon.
Te souviens-tu de quelle couleur sont tes yeux ? Ah ça oui. Tu t'en souviendras toujours car tes yeux sont les premières choses que Salamandre t’ai complimenté. Et tu te souviendras toujours de Salamandre. Tes yeux sont si beaux, si foncés, si mystérieux, mais surtout si verts. Vert de jade, vert d'étang, vert de printemps. Ton regard est la partie la plus captivante de ton anatomie. C'est celle que l'on voit en premier. Celle dont on ne peut se détacher. Mais à l'heure d'aujourd'hui, tes yeux sont éteints et tes prunelles ont perdu de leur brillance. Tu portes un regard absent sur tout ce qui t'entoure, tu as constamment l'air en transe. Ce qui est peut-être le cas car tu es perturbé et tu ne sais plus où tu en es.
Mis à part tes yeux, ton visage comporte, bien évidemment, d'autres attributs. Tes moustaches, elles, sont inertes, tu ne les a plus remuées depuis Salamandre. Tes oreilles sont de mêmes, petites formes frêles et triangulaires. Ta bouche, elle, n'a plus esquissé de sourire depuis bien des lunes.
En réalité, ton visage n'a plus jamais représenté ta joie de vivre depuis un an.
Depuis Salamandre.
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Ton caractère ? Ton côté psychique ? Personne ne peut le comprendre. Pour ce faire, il aurait fallu te connaître avant l'enlèvement. Auparavant, tu étais joyeux en toutes circonstances. Tu riais, tu faisais rire et tu t'amusais. Tu faisais tout pour remonter le moral des autres rien qu'en les écoutant parler, et ça marchait. Tu étais un rayon de soleil dans la vie de bien des gens. Tu ne voyais que le côté positif chez les autres et, pour toi, le mot "pessimiste" ne voulait absolument rien dire.
Avant, tu étais animée d'une naïve insouciance mêlée à un extrême sentiment d'arrogance. Oui, tu étais arrogant. Mais pas avec tout le monde. Seulement avec les étrangers où les plus jeunes. Jamais avec ta famille ou tes amis. Tu t'étais trop ouvert à eux pour pouvoir considérer comme amusant de les rabaisser à l'aide de ton air hautain. Tu n'avais jamais tenté de leur mentir non plus. Non. Jamais. Car même si tu étais l'une des pires canailles, tu suivais ton propre code d'honneur. Tu estimai détenir le droit de tourmenter tes congénères t'horripilant, ceux que tu ne connaissais pas, et les chats plus jeunes que toi, mais tu te refusais à blesser quiconque sauf, bien évidemment, face à des provocations sans équivoque. Avant, on aurait pu dire que tu étais quelqu'un de bien, mais qui ne se laissait pas faire.
Mais avant-là n'existe plus. Il a disparu e même temps que l'éclat de tes yeux. En même temps que Salamandre.
À présent, ton visage n'exprime plus aucune joie, tu as perdu ton sourire, tu as perdu ta gaieté de vivre, tu as perdu ton rire et, plus que ça, tout a tout perdu.
Ta naïve insouciance a été reléguée au rang d'effroyable souvenir, à ce jour, tu te méfies de tout, d'absolument tout. DU simple sifflement du vent au lointain grondement d'un monstre transportant ces immondes Bipèdes dépourvus de coeur en son sein.
Ta vile arrogance est partie en fumée et tes mensonges ont désormais la fâcheuse tendance à se multiplier et à se complexifier de jour en jour. Tu e t'ouvres plus à personne, ta famille et tes amis, eux, ne signifie plus rien. Tu les a laissés derrière toi et tu n'en as plus que faire. Ton code d'honneur, tu l'as jeté aux orties et tu n'hésites plus à tuer quiconque. Même des inconnus. Même des chatons.
Mais alors qu'en est-il des méandres de ton esprit ? Que deviennent-ils, eux ? Ils dérivent. Ta tête est devenue une tempête incessante. Tes rêves se sont mués en cauchemars et les insomnies se multiplient. Tu es fou. C'est ce que tout le monde te dit et te répète. Alors tu évites tout le monde. Car tu ne te considères nullement comme un fou.
Est-ce mal de de ne dormir et de ne manger que rarement ?
Est-ce mal de voir ta chère Salamandre, ton frère et Djinn sans cesse ?
Est-ce mal de ne plus te nourrir comme avant ?
Tu ne le penses pas. Tu aimerais que tes comparses comprennent qu'au-delà de ta prétendue folie, tu es terrifié.
Tu as peur et tu es fou.
Ils disent que tu es un monstre, quelqu'un de différent.
Ma ta peur, ta différence et ta folie font ta normalité.
C'était pareil à une course effréné, rapide mais douloureux. C'était comme regarder le soleil sans cligner des yeux, beau mais piquant. C'était ça, le cycle éternel qu'est celui de la vie.
Tu es né il y a cinq ans et deux mois. Tu ne t'en souviens pas, bien sûr. Ce que tu en sais, c'est ce que t'en a décris ton père avant de mourir. C'était un jour de printemps, dans une plaine verdoyante. Il y avait une petite brise et, à l'ombre d'un arbre, il y avait un gigantesque buisson. C'était la tanière familiale. Ta mère était à l'intérieur, en train de mettre bas, tandis que ton père restait à ses côtés, sa patte dans celle de sa compagne, il lui murmurait à l'oreille. Tu arrivas le premier. Tu étais très maigre et tout petit. À vrai dire, tu étais prématuré, comme tout le reste de la portée, d'un mois. Après toi, te succéda ta soeur puis ton frère. Ta soeur te ressemblait beaucoup, quant à ton frère, il tenait plus de ta mère que de ton père sur le plan physique.
Tu fus baptisé Akiro. En l'honneur de ton défunt grand-père paternel.
Ta soeur devint Nymphe. En souvenir de la plaine où vous étiez nés.
Ton frère fut nommé Kami. Pour rendre hommage l'un des amis de vos parents, mort de la famine.
UC
Prénom : Tu m'appelles Passy ou Ella', point barre.
Âge : T'es pédophile ?
Des remarques ? Y a plein de trucs inutiles dans ce formulaires
Que pensez vous du forum ? J'réponds jamais à cette question
Vous êtes expérimenté en rp ? : Tu peux me tutoyer tu sais
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